Le co-président de la CCDJP, qui est aussi conseiller d’État neuchâtelois et membre du Conseil de fondation de l’ISP, s’exprime sur le futur de la formation policière et sur les résultats du sondage sur l’avenir mené dans le cadre du CGF. À présent qu’il a quitté le comité de projet, quelles sont ses recommandations à l’attention de l’ISP et de l’équipe du projet CGF ?